Le
mal de mer
Quelques
précisions...
Quelques précisions sur ce qui
accompagne souvent pour certains un voyage au fil de l'eau : le mal de
mer...
S'il est bien une chose devant laquelle nous ne sommes guère
égaux, c'est bien le mal de mer. En effet, certains n'en
subiront jamais les effets, d'autres en souffriront à
l'occasion, et les plus malchanceux devront faire avec la plupart du
temps; y compris d'ailleurs s'ils sont marins chevronnés.
Au delà de cette inégalité
"naturelle", le type d'embarcation sur lequel on se trouve,
l'état de la surface de l'eau et le temps passé
hors terre ferme sont bien sûr des causes certaines au niveau
du mal de mer.
Sur rivières, lacs, mer calme pour de courtes
traversées très peu de risques d'être
malade. Par contre, évidemment, pour peu que le trajet
dépasse quelques dizaines de minutes en mer, les risques
augmentent.
Concrètement, le bateau sur lequel on se trouve joue un
rôle important, et si les paquebots de croisières,
cargos, ferries sont équipés de dispositifs
contre le roulis et le tangage permettant de moins ressentir les effets
de la mer, les voiliers et autres petites embarcations sont de fait
moins bien "protégés" en ce domaine. Ce qui ne
veut pas dire pour autant, que sur un gros bateaux il n'y aura pas de
problèmes, notamment par gros temps.
Schématiquement, le mal de mer provient du fait que le corps
et les sens (dont bien sûr la vision) doivent s'adapter
à un nouveau rythme (celui de la mer) qui traditionnellement
n'est pas le leur; du moins pour une très grosse
majorité de gens. Donc, les symptômes apparaissent
généralement dès le premier jour et ce
n'est qu'au fil du temps que l'organisme va s'habituer au rythme du
navire. A remarquer qu'à l'inverse, au retour sur terre,
celui-ci peut avoir également à se
réadapter, d'où ce que l'on appelle couramment
"le mal de terre".
Un peu comme pour la l'anxiété et la
consommation d'excitants
(alcools, tabac...) sont des phénomènes
aggravants. Dans les deux cas d'ailleurs, autant arriver tranquillement
à l'embarquement, en ayant privilégié
une nourriture légère ("utile" aussi en cas de
vomissements) et dans une tenue dans laquelle on se sente à
l'aise et qui le cas échéant protège
bien du froid. Même chose d'ailleurs pendant toute la
traversée.
Dès les premiers signes, il est conseillé de
monter au grand air, au centre du bateau là ou ça
bouge le moins, de s'activer et d'une certaine façon de
retrouver - fixer - l'horizon ou la côte. A
l'opposé, il faut éviter de rester
confiné dans sa cabine ou à
l'intérieur, de lire, d'être inactif ou de fixer
le mouvement des structures du bateau ou le sillage de celui-ci. Dormir
peut néanmoins être aussi une solution.
Quant aux remèdes existants, même si le gingembre
est réputé pour stabiliser l'estomac, il n'y a
pas encore de traitement miracle. Toutefois, vous trouverez des
pillules en pharmacie ou bien encore des pastilles a coller derriere
l'oreille qui me semblent plus efficaces. Dans tous les cas,
assurez-vous des effets secondaires que
peuvent entraîner certains d'entre-eux. Demandez conseils a
votre
pharmacien!
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